INCONNU A CETTE ADRESSE           

          Voilà un petit commentaire de lecture d’un roman épistolaire de la deuxième guerre mondiale. Ca parle de deux familles de bourges, qui s'envoient des lettres. Au début c'est en gros : « salut, comment ça va ?  La femme les gosses ». Mais après, il y a le gros facho d'Hitler qui ramène ses fesses au pouvoir. Il y a une famille qui habite en Allemagne (Martin, celui qui écrit), et celui aux États-Unis (Max), qui par malheur pour lui est Juif. Certains ont déjà fait le rapprochement. Pour les autres, j'explique avec plus de détails. Max parle de sa sœur (Griselle) qui est partie faire une tournée internationale de théâtre en Allemagne (faut quand même être inconsciente pour une juive). Elle ne donne plus de nouvelle à son frère Max (ce qui était prévisible), qui lui, commence sérieusement à s'inquiéter. Tandis que l'autre facho (maintenant) de Martin, en a rien à faire et va jusqu'à la laisser aux mains des SA (moi j'appelle ça un faux frère). A la fin, pour se venger (on devine), M@x envoie des lettres et Martin  le supplie d'arrêter, car il est mal vu de recevoir des lettres d'un juif. Mais Max continue jusqu'à ce que la dernière lettre lui soit retournée avec pour indication sur l'enveloppe : "Inconnu à cette adresse".

          Je trouve que ce livre montre bien l'influence de feu Hitler. Personnellement, j'ai bien aimé, et en plus, ce n’est pas long à lire.

          Voilà un petit exemple, de l’influence d’Hitler… :

« Je ne veux plus rien avoir à faire avec les Juifs, mis à part les virements bancaires et leurs reçus. C’est déjà bien assez fâcheux pour moi qu’une Juive soit venue chercher refuge dans mon domaine. Je ne tolérerai plus d’être associé d’une manière ou d’une autre avec cette race. »

          bonne lecture ...

Commentaire de Zanardo Maxence.

Commentaire n°2 :

      Ce commentaire est sous forme de Bande dessinée. Cliquez sur ce bouton  pour la voir !

Commentaire de Begel Benjamin.

Commentaire n°3 : 

    Le roman que je vais vous présenter est le chef-d’œuvre de kressmann Taylor qui parle d’une correspondance postale entre un allemand, Martin Schulse et un juif américain, Max Eisenstein, après leur séparation en 1932. L’histoire se passe donc au tout début de l’arrivée d’Hitler au pouvoir en Allemagne. Les premières lettres parlent de « comment vont tes gosses ? Est-ce qu’il fait beau chez toi ? » enfin beaucoup de tralala. A ce moment là, l’histoire n’a pas beaucoup d’intérêt, mais, pour les paresseux, lisez la suite : c’est absolument captivant. Martin devient un facho à cause du psychopathe qu’est Hitler, et encore les mots ne sont pas assez durs pour décrire cet individu. Max reçoit donc des lettres à caractère nazi de la personne qu’il considérait comme son frère. Y a de quoi péter les plombs quand votre meilleurs ami vous jette du jour au lendemain en succombant à la gigantesque montée de l’antisémitisme. La sœur de Max décide de passer en Allemagne, ce n’est vraiment pas prudent à cette époque de l’histoire. Maintenant que vous savez en gros de quoi ce court livre parle et qu’il est intéressant de le lire, je vous laisse le dévorer.

Commentaire de Lajeunesse Charles-Henri.

Commentaire n°4 :          

          Voici un court commentaire de lecture sur la magnifique œuvre de Kressmann Taylor qu’est Inconnu à cette adresse. Bien que l’histoire se passe juste avant la deuxième guerre mondiale (en pleine montée du nazisme), l’intrigue est tout de même passionnante, mais dure. Ce sont deux amis, Max et Martin, qui, pour ne pas perdre contact, s’écrivent souvent pour la simple et bonne raison que Max habite San Francisco et Martin, quant à lui, Munich. Au cours de l’histoire, comme Max est un Juif et Martin est pour les idées Hitlériennes, Martin ne veut plus que Max lui écrive, de peur de se faire choper et de se faire tuer. Il avait tellement peur que même quand la sœur de Max, Griselle, juive également,  vient le voir, il ne la laisse pas entrer et elle se fait tuer par les SA. Si avec tous ces détails ce roman ne vous donne toujours pas envie, alors c’est que vous n’aimez vraiment pas du tout lire !

Commentaire de Baderot Arnaud

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